nos projets
Forte de 20 ans d’expérience dans le domaine des structures immergées, l’association Atlantique Landes Récifs développe désormais ses propres modules et conseille les porteurs de projets.
A force d’observer le fonctionnement des récifs artificiels immergés dès 1999 au large de la côte landaise, l’association Atlantique Landes Récifs a développé une expertise reconnue. S’inspirant de l’exemple japonais où les structures immergées divergent selon les poissons à capturer, elle a décidé de concevoir ses propres modules pour attirer une plus grande variété d’espèces.
des structures «maison»
C’est ainsi que depuis 2007, ALR est devenue constructeur de récifs. A ce jour, elle en a mis au point trois modèles différents.
typi
Premier module imaginé par les équipes d’ALR, le récif Typi est de forme conique. Avec ses 13 000 kg et ses 2,60 m de haut, il représente un réel obstacle au chalutage. En 2010, un exemplaire a été immergé sur chaque concession. Depuis, ils ont démontré leur stabilité et leur solidité et ont été colonisés par de nombreuses espèces.
babel
Une tour composée de trois étages de hauteurs différentes : le récif Babel est né en 2014 avec dans l’idée de proposer des habitats variés à la faune marine. Là encore, trois exemplaires ont été réalisés : un pour chaque concession.
néréïde
En 2015 a également été immergé un prototype de structure métallique destinée à tester le grossissement de coquillages en pleine mer.
un rôle de conseil
Au fil des années, Atlantique Landes Récifs s’est positionnée comme la spécialiste de la thématique des récifs artificiels. Le Centre régional d’expérimentation et d’application aquacole (CREAA) a ainsi fait appel à elle dès 2009 pour participer au projet d’immersion de récifs artificiels en Charente-Maritime. Des modules ont ainsi été immergés au large de l’île d’Oléron en 2018 et 2019.
L’association a également participé à l’étude d’opportunité et de faisabilité d’immersion de récifs artificiels à Arcachon en 2013-2014, aux côtés de Créocéan, Sirena et Sylvain Pioch.
Enfin, l’association a partagé son expérience avec le Cepralmar (Centre d’étude pour la promotion des activités lagunaires et maritimes) dans la cadre de l’élaboration du Guide pratique de mise en place des récifs artificiels en Languedoc-Roussillon.
